Claymore

S’il y a bien un anime qui m’a marqué récemment, il s’agit de « Claymore ». Cette histoire de chasseuses de démon elles-mêmes mi-humaine, mi-démon m’a passionné et tenu en haleine tout le long des 26 épisodes.

L’héroïne, Clare (Claire pour les japonais) est une Claymore très refermée sur elle-même et distante de tout. Au cours d’une mission, elle rencontre puis recueille contre son gré un jeune garçon, Raki. Comme toutes les Claymore, Clare dispose de pouvoirs importants et surnaturels grâce à sa part démoniaque. Non seulement elles peuvent supporter des blessures normalement mortelles et peuvent se régénérer, mais elles disposent aussi d’une agilité, d’une force et d’une vitesse hors du commun. Elles se battent toutes avec une lourde claymore d’où bien évidement leur nom et ont certains pouvoirs qui sont spécifiques à chacunes d’entre elles et leur donnent leur surnom.

L’anime vise un public de jeunes adultes, il verse plutôt dans le gore, y a des tripes, y a des viscères et ça se voit ! L’histoire est particulièrement intéressante à suivre, à chaque nouvelle Claymore introduite dans le scénario on a envie de savoir quel est son rang dans l’Organisation, son nom, son titre, ses particularités, etc…

Même si le dessin et l’animation pêchent parfois en rigueur, ils restent quand même très agréables à voir et n’enlèvent rien à la classe de la tenue des Claymore. Sur le plan auditif c’est un vrai régal, au point que j’en écoute actuellement l’OST et que pour une fois, je ne me lasse pas du générique d’ouverture et — fait suffisamment rare pour être relevé — de fin de chaque épisode.

Bref je suis devenu un véritable fanboy de cet anime et je bave d’impatience à l’idée d’une probable suite puisque le manga éponyme est toujours en cours.